Chateaubriand et la beauté de la Foi
Il y a plusieurs semaines, lorsque je lisais Atala, par Chateaubriand, pour mon cour de littérature française, j'ai lu un passage que je voulais partager avec vous. Maintenant, en étudiant pour mon examen final je vient de le retrouver.
C'est un passage qui met en relief la beauté de la religion Catholique. La scène prend place lorsqu'Atala, une indienne Catholique, est entrain de mourir. Les descriptions sont très lyriques et poétiques mais c'est typique du romantisme.
"Le prêtre ouvrit le chalice; il prit entre ses deux doigts une hostie blanche comme la neige, et s'approcha d'Atala, en prononçant des mots mystérieux. Cette sainte avec les yeux levés au ciel, en extase. Toutes ses douleurs parurent suspendues, toute sa vie se rassembla sur sa bouche; ses lèvres s'entr'ouvrirent et vinrent avec respect chercher le Dieu caché cous le pain mystique. Ensuite le divin vieillard trempe un peu de coton dans une huile consacrée; il en frotte les tempes d'Atala, il regarde un moment la fille mourante, et tout à coup ces fortes paroles lui échappent: "Partez, âme chrétienne : allez rejoindre votre Créateur!" Relevant alors ma tête abattue, je m'écriai, en regardant le vase où était l'huile sainte: "Mon père ce remède rendra-t-il la vie à Atala?" "Oui, mon fils, dit le vieillard en tombant dans mes bras, la vie éternelle!" Atala venait d'expirer."
Il y a aussi une belle description de la messe dans le livre:
"L'aurore paraissant derrière les montagnes enflammait l'orient. Tout était d'or ou de rose dans la solitude. L'astre nanoncé par tant de splendeur, sortit enfin d'un abîme de lumière, et son premier rayon reontra l'hostie consacrée, que le prêtre, en ce moment même, élevait dans les airs. O charme de la religion! O magnificence du culte chrétoem! Pour sacrificateur un vieil ermite, pour autel un rocher, pour église le désert, pour assistance d'innocents Sauvages! Non, je ne doute point qu'au moment où nous nous prosternâmes, le grand mystère ne s'accomplît et que Dieu ne descendît sur la terre, car je le sentis descendre dans mon coeur."
C'est un passage qui met en relief la beauté de la religion Catholique. La scène prend place lorsqu'Atala, une indienne Catholique, est entrain de mourir. Les descriptions sont très lyriques et poétiques mais c'est typique du romantisme.
"Le prêtre ouvrit le chalice; il prit entre ses deux doigts une hostie blanche comme la neige, et s'approcha d'Atala, en prononçant des mots mystérieux. Cette sainte avec les yeux levés au ciel, en extase. Toutes ses douleurs parurent suspendues, toute sa vie se rassembla sur sa bouche; ses lèvres s'entr'ouvrirent et vinrent avec respect chercher le Dieu caché cous le pain mystique. Ensuite le divin vieillard trempe un peu de coton dans une huile consacrée; il en frotte les tempes d'Atala, il regarde un moment la fille mourante, et tout à coup ces fortes paroles lui échappent: "Partez, âme chrétienne : allez rejoindre votre Créateur!" Relevant alors ma tête abattue, je m'écriai, en regardant le vase où était l'huile sainte: "Mon père ce remède rendra-t-il la vie à Atala?" "Oui, mon fils, dit le vieillard en tombant dans mes bras, la vie éternelle!" Atala venait d'expirer."
Il y a aussi une belle description de la messe dans le livre:
"L'aurore paraissant derrière les montagnes enflammait l'orient. Tout était d'or ou de rose dans la solitude. L'astre nanoncé par tant de splendeur, sortit enfin d'un abîme de lumière, et son premier rayon reontra l'hostie consacrée, que le prêtre, en ce moment même, élevait dans les airs. O charme de la religion! O magnificence du culte chrétoem! Pour sacrificateur un vieil ermite, pour autel un rocher, pour église le désert, pour assistance d'innocents Sauvages! Non, je ne doute point qu'au moment où nous nous prosternâmes, le grand mystère ne s'accomplît et que Dieu ne descendît sur la terre, car je le sentis descendre dans mon coeur."
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